
Et te revoilà. Toi et ton sourire ultra-brite et cette tendresse pour moi et bordel tu tombes bien tu vois c’était trop dur sans toi j’ai pas tenu quarante-huit heures. Alors on a cédé du terrain toi et moi, tant pis pour les conventions de lecture et tant pis si c’est dangereux et si ça fout la trouille et si on sait pas du tout où on va ni si c’est vraiment ça qu’on attend, ouais tant pis pour le chaos. Je ne peux plus me passer de toi. Je LUI ai dit t’as vu ? Finalement c’était pas si compliqué, te dévoiler. Faut dire que tu me débordes. Faut dire que c’est agréable toute cette peur envolée. Faut dire que j’avais mis tellement d’énergie à te cacher toutes ces années. Faut dire que tu me reposes.
Alors tu restes. Et puis merde.
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