
Hier soir c’est Machiavelle, mon chat – enfin le chat que j’avais adopté, M. ne pouvant plus le garder, qui est revenue. Machiavelle avec deuzélleuh parce que c’est une fille. Zu Hilfe! Zu Hilfe! Sonst bin ich verloren…. Deux jours que Tamino fait péter les watts, et ce soir Machiavelle m’appelle. C’est super psy tout ça quand même, surréaliste. Vieux pull, transat, réappropriation. Un peu sauvage, plus trop l’habitude… Sous un ciel pareil, scène surnaturelle.
Et puis elle m’a fait un coup à la Ilunga. Passe une souris un mulot ou je ne sais quoi, vas-y ma belle, chope le. Seulement je ne l’ai pas attendue, j’avais envie d’écrire un peu. Comme par hasard j’ai perdu absolument tout ce que j’ai écris cette nuit, disparu je ne sais pas trop où, windows et ses mystères… Bref je n’ai pas attendu Machiavelle et ce fût la crise. Petit un elle n’avait rien attrapé, ce qui pour un chat aussi mégalo que moi est un grand déshonneur. Petit deux, affront suprême, je n’étais plus là. Rage. Coup de griffe sur le bas de mon jean, attaque en règle de mes Nike… et que je crache, je suis pas contente j’ai besoin que tu t’occupes de moi ça fait huit mois tu te rends compte huit mois… je veux te faire un cadeau et toi tu te barres !!!
Même pas mal trésor, je comprends. T’as quand même du bol d’être un chat, tu vois.
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