
Bien sûr longtemps j’ai dit pardon. Parce que bon. La vérité c’est que je t’aimais à en crever et que c’est jamais une solution cette histoire de corde autour d’une poutre (ouais et en plus tu vois j’ai même pas de poutre dans ma maison, enfin pas une seule poutre qui ne soit pas formellement opposée à l’idée d’une quelconque participation au jeu du pendu, au point de se scotcher au plafond, mais quelles saletés ces poutres !)
Tiens pendant qu’on y est ça me saoule aussi ce genre de relations que tu tisses avec les gens. Oui ça m’épuise tu vois. Stop, et right now.
Putain mais tu te fous de ma gueule une peu je crois. Tu fais la maline et ça tient pas deux semaines. Tu me noies et tu jubiles on dirait bien. Mais vas te faire foutre à la fin y en a marre des simulations à deux francs, ras le bol des châteaux en espagne, des énièmes répétitions des mêmes conneries. T’as promis autre chose figure-toi.
Et moi j’attends. Je fais comment dans le cas contraire, je meurs ? Sûrement pas.
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