
Je serais probablement libérée de mes obligations (sic) professionnelles fin mai. C’est à dire qu’il me reste en gros dix jours de présence (figuration…) à effectuer au boulot. J’ai obtenu ce que je voulais, sans avoir trop à batailler… Et j’ai reçu le dossier d’inscription pour la formation que j’ai envie d’entreprendre, il va falloir que je me colle à le remplir avec soin… Mais en gros, je suis contente.
Bon côté perso c’est le calme plat, Capitaine Flam m’est plutôt sorti de la tête (tant mieux tant pis) et je n’ai aucune énergie pour me lancer dans la bataille pour forcer la rencontre avec un hypothétique homme de ma vie. Je n’y crois plus, et même si j’aspire à être amoureuse je préfère pour l’instant me contenter de rien. Il paraît que c’est quand on ne cherche pas qu’on trouve, Mazel Tov.
Je suis assez surprise, quand je lis d’autres journaux, de voir combien le mythe du « malalatête » est vivace. Je n’ai jamais aimé calculer, pas plus pour avoir un enfant que pour éviter les périodes de débarquement. Les câlins, je les aime spontanés, peu importe où comment quand etc. Et j’ai toujours partagé mon lit avec des hommes à peu près dans le même état d’esprit. C’est bizarre. Bref.
Il faut que je trouve en moi l’énergie du travail. De la concentration, de l’effort. Le sens de l’effort. Pour écrire, pour avancer. Ne pas me reposer sur les événements. Ne pas repousser sans arrêt à plus tard, ne pas tout conditionner à une ambiance… Je vais écrire, j’en ai envie, mais cette fois ci je dois le faire sérieusement, ne pas mettre la charrue avant les boeufs, ni dessiner de plans sur la comète… L’idée est là, je dois l’exploiter. Difficile pour la Perrette que je suis…
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