
Fête pornographique hier. Fayït est au téléphone (you know you’re right you know you’re wrong, please take care…), pour les autres y en a marre de cette image de rebelle-junkie-trash qu’on véhicule par ici dès qu’on s’aventure sur le terrain du cul, et blabla Histoires d’O et blabla y a plus un seul film porno digne de ce nom. De l’âne au coq on s’emballe sur l’âme, c’est quoi c’est qui et quand on efface l’ésotérique est-ce que ça devient palpable, l’âme, télétransportable… Est-ce que tout est prévisible et contrôlable, Adlous Huxley le retour. On sort et puis non et puis oui et puis non finalement, on est bien ici, merci pour le chocolat. Rêves de Buenos Aires, jolie soirée.
Longtemps qu’on n’avait pas si bien dormi, welcome back to the Hôtel California, tous les grands instants ont une fin, il y a cette rue déserte, ces rideaux baissés, il y a ce chien errant au poil brouillé et ces deux gamins rollers au pieds, cheveux au vent, il y a cette femme et ses larmes à peine masquées, il y a mon fils qui m’attend, oh dis Léon si on partait tous les deux là-bas, ailleurs. Si on prenait la route là tout de suite…
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