
C’est curieux mais ici le temps est arrêté, un peu.
Au beau milieu du pays de Nohant…
Ici on utilise des serpes pour faucher les blés, on fabrique des liqueurs à base de plantes épouvantablement gerbantes, on croise d’étranges femmes un peu sorcières, rebouteuses qui barrent le mal disent-elles… Alors comment ne pas soudainement s’attendre à voir apparaître George Sand au petit matin sortir de la brume d’un étang comme il en existe peu ailleurs…
Comment, par association d’idées, ne pas se y penser… George et Alfred. Encore une histoire éblouissante et tragique.
SORROW
I’ve lost my spirit and my strength,
My friends and my vitality;
Even that pride I’ve lost nearly
Which in my genius gave me faith.
When first I came to Truth, I thought
She’d be a friend to me, but when
I understood her well, by then
I was disgusted and worn out.
Although she is immortal, yet
Those who have done without her know
Nothing about life here below.
God speaks, and one must make reply;
The sole good that is left to me
In this world is having sometimes wept.
Alfred de Musset
Machiavelle est toujours très fâchée… je la rêve sur mes genoux là, paisible, mais va falloir du temps…
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