
Mieux aurait valu attendre septembre. Parce que là, c’est fini pour deux mois, bientôt. Deux mois en apensanteur, faut juste que je n’avale pas de travers. Pas de rage narcissique, fini fini, déconnexion. Risque zéro.
Sinon, je suis obsédée par mon corps. A nouveau. Ça fait partie de la répétition.
Tiens, j’ai une question. Un peu utile pour une fois. Pourquoi est-ce que j’ai tellement de… recul (trouille, malaise, non j’ai pas envie d’y aller…) à l’idée de faire ce truc, là, à mon nouveau boulot… Je me la joue, comme d’hab’, beaucoup de bruit tout ça, très genre… mais au fond, en plus de la tempête interne, je reconnais un acouphène familier. Un truc qui me prend en plein estomac, un vertige incompréhensible. Et je vais pas l’analyser, faut que je commence à mettre sur pause mes auto-psy, si je veux m’en sortir d’ici septembre. Mais bon, faudrait que je comprenne un jour, pour que ça s’arrête.
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