Le Vendée Globe… c’était bien. Déjà écrit je sais, je suis obsessionnelle ça n’est un scoop pour personne j’espère. Départ dimanche prochain. Aujourd’hui Sébastien est sorti en mer pour tester sa voile d’avant, un spi asymétrique utilisé dans plus de 20 noeuds de vent. Alex lui prévoir d’emmener Hugo Boss en Australie après la course. Faudrait déjà que tu arrives au bout mon garçon. Bref comme tout ceci n’intéresse que moi je vais vous épargner le reste (d’autant plus qu’il n’y a pas de suspense voyez-vous, Sébastien va gagner et j’aurais mon permis bateau cet hiver).

Seulement le Vendée Globe m’a tourné la tête, à moins que ce soit le vin blanc indispensable à tout plateau de fruits de mers, bref avant de quitter l’océan j’ai embarqué Léon direction la plage, en pleine nuit, pour voir la lune. Résultat mon front a heurté de plein fouet un énorme galet blanc, on m’a regardée comme si j’avais pris un crochet du droit en plein visage, c’est formidable.

Alors je suis partie chez Beavis, déposant mon fils chez son père, et c’était chouette. Certains ont cru qu’il y avait un quelconque rapport entre Beavis et mon cocard mais pas du tout enfin quand même. Quelques jours et que des filles (Sex and the city en chair et en os, piment d’espelette inclus !), que des rires (Sonja nous coiffera au poteau forever, pas la peine de lutter), que des balades (le long de magasins fermés pour plaire aux banquiers), que de la grande cuisine express (parce que c’est maintenant qu’on a faim pas dans deux heures), que des bavardages, que de l’herbe, et puis voilà. Le virtuel, le réel, vivre ici ou là-bas, mais oui ouvre un blog, toi t’es pas le mec de ma vie t’es le mec de ma nuit, merde y a plus de citrons, etc. Je plagie encore mais oui c’était un vrai week-end de pétasses assumées, et oui ces jours-çi j’avance à la vitesse de l’éclair, tant pis pour ma mégalo si j’en suis plutôt fière.