Chronique #240 : Comète (ainsi-soit-il)

15 août 2004 0 Permalink 0
Trop de lumière en ville pour les étoile filantes, just to tell… Merde quoi une bonne vieille lumière électrique et blafarde, atterrir, quitter cette nuit trop noire, trop lactée. Etourdir, alléger, éclipser.
loosing my religion (ah ah)
Plus possible de passer la nuit dehors à scruter la moindre traînée blanche, faire des voeux et puis ces questions incessantes, «je sais pas faut peut-être planter des clous dans ma mémoire et partir en courant»*.

Pas d’herbe verte chez moi et-plus-de-peut-être-que-je-vais-trouver un trèfle-à-quatre-feuilles… Plus de pièces de pile ou face non plus, plus cette oppression cette obession cet étouffement cette culpabilité. Je pars demain.

Juste ECRIRE. Vider, raconter cette histoire qui n’est pas la mienne, décorporer. Accepter – plus d’artifices, j’ai entendu cette voix.

Enfin.

*mon large comme tout un canada à moi c’est les ailes du papillon… épuisée d’avoir tellement lutté pour leur faire croire que je suis d’ici alors que je suis d’ailleurs…

>> just listen… just a little clic(k) here : [Epuisé]

Rien de mieux. Ah si, se souvenir que Peau d’Ane c’est tres dangereux, sans parler des Von Trapp. Dehors tout le monde, ouste.

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