
Mais je lis moins la SPP & consorts. J’ai repris pied dans le concret. J’ai hâte de voir ce que va être la prochaine séance, je n’en attends rien (puisque je suis déjà partie dans la projection changement-de-cadre-à-la-rentrée), je suis curieuse.
Je manque de temps pour moi, pour digérer toutes ces nouvelles choses, ces émotions. Pas un jour de farniente bullesque depuis le 22. Je n’ai pas l’habitude. Je rallonge les journées, me lève plus tôt… Je voudrais me multiplier, faire trente trucs en même temps, faire chauffer mes neurones… Me complaire dans cette bulle de joie sereine mêlée de hâte et d’appréhension (malgré tout), laisser s’envoler les fantasmes, projeter projeter et encore projeter… Etre un peu folle.
Peut-être que c’est bien, de ne pas avoir ce temps là. Peut être que c’est bien que je bosse tout l’été. Peut être qu’il faudrait aussi que j’entreprenne ce que j’ai promis de faire et que je n’arrive pas à lancer (comme toujours…). Peut être qu’il faut que je canalise (enfouisse) encore plus cette frénésie analytique. Jusqu’en septembre.
J’ai pas envie.
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