Chronique #134 : Coaching – deuxième épisode

05 novembre 2003 0 Permalink 0
Psy-médocs n’est plus. Je viens de le rebaptiser, pour mon plus grand plaisir, tadam tadam youpi : psy-médocs is now known as SUPER-COACH !!! Oui, COACH. J’ai un COACH ! J’en ai rêvé, je l’ai trouvé. Mazel Tov !!!!
Raphaëlle Ricci aka *Raphie* peut aller se rhabiller, hé hé !
D’abord, il y eut une soirée magique, hier soir, avec ma Girafe. Enfumée et magique. Enfumée donc magique. Et créative : nous avons accouché d’un improbable scénario de film qui, si nous arrivons à dépasser le stade de l’idée, pourrait être grandiose (au moins). Je n’avais pas passé une soirée aussi chouette depuis un moment. Et ça fait du bien du bien du bien !!!

Evidemment, je n’ai pas assez dormi, et j’ai passé la journée à l’ouest de mars aujourd’hui. Jusqu’à dix-huit heures et quarante-neuf minutes ce soir. Heure à laquelle la métamophose de SUPER-COACH s’est opérée. Heure à laquelle je suis revenue sur terre, avec allégresse et reconnaissance.

Je suis désormais coachée par un type merveilleux. Un psychiatre, qui plus est. Qui ordonne d’arrêter les drogues remboursées par la sécu. Qui prescrit à la place de la Poudre de Citron vert et du Pilocarpus Jaborandi, entre autres. Qui s’occupe de ma tête et de ma vie. Qui m’impose une heure de sport par jour, plus des boissons protéinées goût chocolat-caramel. Qui est bienveillant. Que je peux appeler quand je veux, même par e’mail au milieu de la nuit si ça va pas (mais comme pour l’instant ça va plutôt, et que je dors ou rêve la nuit, il ne prend pas de grands risques, NDLR)

Halte-là, je ne transférise pas. J’ai juste trouvé quelqu’un que je cherchais, le binôme de MMSP. Il y a lui qui me revitalise, elle qui m’écoute. Lui qui m’ensoleille, elle qui illumine mes parts d’ombre. Lui qui m’impose, elle qui dispose. Lui et elle. Un père et une mère ?

Flower power.

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