Chronique #105 : Je pars dans trois heures

17 août 2003 0 Permalink 0
je sais TRES bien pourquoi je reste bloquée sur Capitaine Flam. Très bien pourquoi je m’entête à rendre impossible son éradication de mes pensées. Je décode parfaitement le mécanisme. Mais cela ne sert à rien…
…et je fais que des conneries, en attendant.
Au commencement il y eut, ce matin, une odeur. Celle de la lessive de ma mère, probablement une autre qu’habituellement, en revanche et sans aucun doute la même que celle qu’IL utilise(ait). La mémoire olfactive est terrible. Et je me suis vue – oui car il m’arrive de me décorporer (c’est une image) quand la situation devient vraiment pathétique – plonger mon visage dans le linge propre, le respirer intensément, avec fanatisme. Je suis désespérante. Mais le pire, c’est que je ne me suis pas arrêtée là.

Je viens de parcourir les lieux fétiches de Messire sur le net. Et je l’y ai retrouvé. En ai déduit instantanément que forcément il était à nouveau célibataire. Et je me suis créé un nouveau pseudo, en espérant qu’il me trouve, et probablement qu’il se rende compte que je suis la femme de sa vie puisque nos chemins se croisent indéfiniment. TRES intéressant. J’atteins des sommets, parfois…

Heureusement qu’il n’y a pas de connexion Internet au milieu des flots.

J’avais pas dit que je changeais de vie, de comportement, d’attitude, que je devenais grande ?

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