Chronique #248 : Divine Comédie

17 août 2004 0 Permalink 0
Never ending story…
pas dormi, allons-y
D’abord, c’est un manque. Un vide. Un déplacement, évidemment.

Et puis une pierre en plein estomac.

Et puis le sabordage habituel. Logghorrée cadeaux prenez tout prenez moi. Naïveté, crédulité, confiance, investissement peut-être que je ne suis pas perdue dans l’espace peut-être que nous sommes bien plus que ça. Direct dans le platane, arrête de rêver connasse.

Obsession compulsion pas moyen de rationaliser quoi que ce soit, et pourtant je sais, je connais cette demande, cette insupportable nécessité. Sincérité. Facilité. Icare.

Abandon. Déception. Jamais au bon endroit jamais les bonnes personnes toujours cette quête éperdue, besoin besoin besoin besoin d’apaisement, mégalo, aucun espoir.

BorderLine. Incapable de fermer les vannes. J’avais tout blindé, grande maline, plus forte que le reste du monde sans doute ?

Trois semaines. I just need three more weeks. Endiguer, stop. Ecrire si c’est possible, si ça n’est pas dangereux. Seul échappatoire. Retour au cadre, enfin…

C’est la guerre as ever, évidemment. Je croyais quoi ? Ah. Oh. Ahem. Ne veut plus lire nulle part que quiconque est responsable de la bataille. PMPPJTAEDM & so, sans parler des 2M (SisterSpirit), rembarrez vos compassions et vos sollicitudes. C’est un tournedos que je réclame, and a sweety sister.

—-

From Mogador – 1981 – magistral.

Qui est-ce qui a foutu de la flotte sur mon piano ?
Oh la la la la…
Bonsoir…

Ca va ? Youhou ?
[…] Pour commencer l’année 81
Un petit morceau dynamique
Comme quand on se réveille le matin
En faisant des gestes acrobatiques
[…] i want some sea food, mama
[…] Hold tight…
[Ecouter…]

Jack sur votre portable, non mais ca-va-pas-la-tete ?!!!!!!!!

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