
Bon certes je suis probablement encore sous l’effet du fabuleux massage réalisé par les mains expertes de la demoiselle sans nom – enfin dont je ne sais pas le prénom, quoi – qui officie au spa ici. Un truc absolument phénoménal sans aucun bruit si ce n’est quelques notes d’une espèce de truc lounge particulièrement envoûtant. Magistral, même si il n’y a pas de mots qui puisse retranscrire cette évaporation de la moindre tension récalcitrante. Ou plutôt il y en beaucoup trop, par exemple limpide ou révélation ou c’est bon j’ai compris.
Mon père qui pleure + mon coeur qui bat trop fort + mes songes insensés + mes jérémiades continuelles + ma girafe + A. + ma psy + mes découvertes récentes, c’est pourtant pas difficile à décrypter, faudrait être aveugle. Et ça n’est pas Christelle qui me contredirait. C’est bien gentil de traverser sa vie mais faudrait peut-être à un moment rentrer dedans – la formule n’est pas de moi, je l’ai un peu détournée pardon, elle est très jolie… comme dans son contexte initial btw.
J’ai commencé à l’exprimer, un peu. A dire que bon il y a des moments ou peut-être il faut accepter de plonger, après tout c’est quoi le pire qui puisse arriver ? D’ailleurs tiens pendant qu’on y est ça sert à quoi de toujours penser au pire, ça sert à quoi de tout blinder pour surtout ne jamais être bousculé ? C’est agréable la légéreté. Jamais de regrets, jamais le sentiment de n’avoir même pas essayé.
Vivre, et puis c’est tout.
Deux heures plus tard : il y a quand même des coïncidences assez incroyables dans la vie. Reçu un mail de I. à l’instant. Deux ans que je n’avais pas de nouvelles. J’aurais su quoi lui répondre il y a un mois. Aujourd’hui je ne peux pas.
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