Chronique #408 : So exciting

01 décembre 2004 0 Permalink 0
De moi à toi, c’est parfois très facile de prendre sa psy pour une conne.
don’t ask me why
Et quand tu croises son regard après tu lis dans ses yeux : AH AH JE SAIS TOUT. Et là tu te souviens que tu l’avais lu mille fois et qu’on te l’avait répété autant. Qu’il arriverait ce jour où tu n’aurais plus du tout envie de la voir et que c’est justement là qu’il faut y aller parce que tout ça c’est de la résistance on vous a dit. Ouaip ouaip. J’étais avec toi tu sais ça, que j’étais là quand tu cherchais quelles scories tu pouvais lui balancer pour faire diversion, pour pas qu’elle me trouve. Tu veux me garder pour toi au creux de moi et c’est le prix à payer depuis que je suis partie, tu sais je ne sais pas si on va tenir longtemps le cap – qui plus est avec l’ami lapsus dans les starting-blocks. C’est hyper dur de tout contrôler dans l’association libre, tu vois c’est hyper dur de… résister. Ouaip ouaip. Pas l’intention d’en écrire une thèse non plus. Pas envie d’y aller jeudi (quoi lui raconter, quoi lui raconter vite une idée…). Pas d’accord pour abandonner la fête de l’euphorie. Tu cries et c’est limpide. JE NE VEUX PAS QU’ELLE SACHE.

Mais quoi, bordel ?

soirée cousins ou presque (ouais hein L. on peut dire que je fais partie de la famille aussi hein steuple ;)

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